Andréel invite Agathe Bonitzer pour un duo enregistré aux mythiques Studios Ferber.

Un écrin en harmonie avec l’atmosphère 70’s du projet, entre chanson française et bossa nova.

La vidéo de l’enregistrement est disponible depuis ce lundi 7 février sur Youtube, on l’écoute ?

Le titre sera diffusé à partir du 11 mars sur les plateformes (Deezer, Spotify, Apple Music…).


Il est extrait de l’album « Monsieur Bizarre » à paraître le 18 mars (Distribution Believe / Inouïe).

Avec la participation de Agathe Bonitzer, Amandine Bourgeois et Judith Chemla

Plus d’un an après son album « Tu m’apprends », le très prolifique Andréel a écrit et composé dix nouvelles ritournelles aux mélodies une fois de plus entêtantes. Il n’en fallait pas moins pour rassasier l’appétit créatif de l’auteur compositeur interprète.

« Monsieur Bizarre » ouvre ce nouveau chapitre et pose les bases.

L’atmosphère fleure bon la musique populaire brésilienne dont Andréel est friand depuis ses débuts.

En digne héritier de Moustaki, Nougaro ou Salvador, il est l’artisan d’un savant mélange entre textes oniriques et réalité presque burlesque, avec toujours, en filigrane, cette sensibilité à fleur de peau qui ne dévoile jamais tout, pour laisser à l’auditeur tantôt le choix des armes, tantôt le choix des larmes. Mais celles-ci ne sont jamais loin du sourire. Le paradoxe généré par cette nonchalance et cette précision mélodique dans la voix sied bien au métissage que Andréel impose dans sa musique, celui d’une chanson française poétique, sentimentale et d’un jazz saupoudré de bossanova.

Le rythmé « Marianne », la samba de « La Saxophoniste », la révoltée « Jeune et ivre » répondent notamment au suave « Sans toi » et au duo-dialogue avec Agathe Bonitzer « Quelle magie de vivre » avec une fluidité déconcertante.

C’est précisément là que se dessine le tempérament artistique de Andréel : cette capacité à nous faire passer d’une émotion à une autre, sans jamais pour autant avoir l’impression de sortir de son terrain de jeu, bien circonscrit par ses compositions, ses arrangements et sa réalisation tout en subtilité.

« Où l’on s’est rencontrés »

… sur un texte de Isild Le Besco, distille elle une nostalgie flirtant avec la mélancolie, sans jamais y céder totalement. A ce titre, la chanson pourrait symboliser cet album, qui fait essentiellement état de nos rapports à l’autre, et à soi-même.

L’équipe de choc…

Comme sur le précédent opus, elle est toujours formée de Sébastien Lovato aux claviers et de Nicolas Parent aux guitares, accompagnés par Elaine Beaumont à la contrebasse, David Eleouet à la batterie et Florence Kraus au saxophone. Les chœurs sont assurées par Rhia Mothersele et Lucie Guilhem, et Gabi Hartmann vient partager le refrain de « Où l’on s’est rencontrés ».

Autour d’Andréel, ces musiciennes et musiciens ont enregistré les instruments en live pour conférer à ces nouvelles chansons une charpente plus brute, plus spontanée.

Au final, Monsieur Bizarre, sonne comme son auteur : en finesse, arborant une farouche envie de liberté.

Infos pratiques : 20€ / 15€ en prévente)

Andréel présentera « Monsieur Bizarre » le mercredi 23 mars à 20h30 sur la scène du studio de l’Ermitage (8, rue de l’Ermitage dans le 20ème arrondissement) à Paris.

Infos Pratiques

Prix 20€ et 15€ en prévente

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