Il y a une vingtaine d’années, Maxime et Jenny Légier, un couple d’amoureux des animaux, ont transformé un domaine agricole en refuge, ayant pour vocation première l’assistance et la protection des vieux animaux abandonnés, toutes espèces confondues : AVA était née.

36 ans après l’ouverture de son premier refuge à Cuy-Saint-Fiacre (Seine- Maritime), abritant actuellement plus de 500 animaux, l’association AVA – Agir pour la Vie Animale inaugure son deuxième sanctuaire .

Non loin du premier refuge, La Coloc d’Ava, s’installe à Rouvray-Catillon (Seine Maritime), tout près de Forges-les-Eaux.

Des chiens et des chats sauvés d’une euthanasie injustifiée..,

.,. mais aussi des poules réformées d’élevage, des paons, chèvres et boucs abandonnés, un poney de centre d’équitation à la retraite… Tous ont eu la chance d’échapper à l’euthanasie ou à l’abattoir !

Leur offrir une nouvelle vie, une maison pour le restant de leurs jours, dans un lieu pensé pour leur bien-être, constitue l’ADN-même de l’association AVA.

Contrairement aux refuges « classiques », il n’y a aucune cage, aucun box, ni aucune forme d’enfermement aux Sablons.

Un lieu de vie pour toute la vie…et pour toutes les vies.

Ici, tous les animaux vivent ensemble, en liberté, dans un domaine verdoyant de plus de 3 hectares, équipé, entre autres, d’une piscine couverte et chauffée pour permettre aux chiens de nager.

Les animaux peuvent séjourner dans ce lieu jusqu’à la fin de leur vie s’ils ne trouvent pas d’adoptants.

Mais la particularité de ce refuge familial est que les animaux partagent leur quotidien avec les humains qui vivent avec eux.

L’objectif : permettre aux humains comme aux non-humains de bien vivre et de bien vieillir ensemble, en harmonie, en s’apportant des bienfaits mutuels.

Ainsi, pour la première fois en France, ce refuge propose un modèle d’accueil inédit destiné à la fois aux animaux vulnérables et aux personnes âgées.

« Ce nouveau modèle de refuge est encore expérimental. À long terme, d’autres personnes âgées pourraient nous rejoindre et y résider, tout comme d’autres animaux, mais aussi des personnes éco- volontaires. « La seule condition sera la bonne entente entre les individus et la co-optation par les résidents, humains comme non-humains », conclut Thierry Bedossa.


COMMENT AIDER AVA ?


• Faire un don sur agirpourlavieanimale.fr
• Adopter ou parrainer les animaux du premier refuge


Les adoptions et les parrainages au premier refuge


Chiens, chats, chevaux, bovins, lapins et daims se partagent les 75 ha du domaine de la Ferme du Quesnoy. Plus de 500 animaux cohabitent en liberté ou semi-liberté dans ce premier refuge à Cuy- Saint-Fiacre (Seine-Maritime), où la plupart peuvent oublier leur passé difficile et repartir sur de nouvelles bases de confiance envers l’humain. Si certains d’entre eux sont proposés à l’adoption, la plupart finiront leur vie tranquillement dans ce lieu de vie pensé pour leur bien-être.


La démarche de parrainer un animal permet d’aider très concrètement l’un des protégés, sans nécessairement l’adopter : vous pouvez nous aider à les prendre en charge au quotidien et contribuer ainsi à leur belle retraite.

Grâce à votre générosité et votre soutien, vous participez à leur bien-être et à l’amélioration de leurs conditions de vie.


Agir pour la Vie Animale est une association loi 1901 présidée depuis près de 20 ans par Thierry Bedossa, docteur vétérinaire engagé. Le but de l’association est de venir en aide à des animaux devenus indésirables en raison de leur âge, de leur handicap, ou de leur comportement. AVA a sauvé la vie de plusieurs milliers d’animaux de compagnie, de ferme et de loisir, qui étaient condamnés à l’euthanasie ou à l’abattoir.
Véritable sanctuaire, AVA les a recueillis au sein de son refuge implanté en Normandie, dans un domaine de 75 hectares où la priorité est donnée à leur bien-être, jusqu’à la fin de leur vie. Plus de 500 animaux (chiens, chats, équidés, bovins et cervidés) y résident actuellement. Plus généralement, AVA s’engage pour une meilleure compréhension de l’animal et une meilleure relation homme-animal, à travers notamment son soutien à une recherche éthique, à son expertise et à ses actions de sensibilisation.

Une belle initiative qui mérite d’être saluée et surtout partagée !