Une fragrance subtile et envoûtante !

Une nouvelle façon de se parfumer …

Cette brume aérienne et sensuelle peut être vaporisée une ou plusieurs fois par jour selon les envies.

Peau et chevelure se retrouvent immédiatement parfumés d’un délicieux sillage.

Une plongée dans l’univers enivrant de La Sultane de Saba.

Avec sa fragrance délicate et néanmoins envoûtante, la brume ayurvédique de la Sultane apporte une sensation instantanée de bien-être et de fraîcheur.

Son parfum me plait tant qu’il m’arrive de le vaporiser en guise de brume d’oreiller !

Je vous invite à tester cette délicieuse brume parfumée au plus vite mais je vous avertis que – comme la plupart des produits de la Sultane – vous ne pourrez bientôt plus vous en passer …

Infos pratiques

Les brumes parfumées de La Sultane de Saba sont à retrouver ICI

À la croisée des mondes avec Vanessa Sitbon, Sultane de Saba


Vanessa Sitbon a créé un voyage oriental autour des huiles satinées, savons noirs et douceur de hammam. Les produits de soin de la Sultane sont aujourd’hui symboles d’un savoir faire reconnu, développé à Paris où Vanessa a vu le jour en 1970.
Le destin l’a conduit à provoquer l’alchimie entre le respect du corps et les saveurs épicées de ses ancêtres paternels qui travaillaient le sucre, l’olive et les salaisons sous le nom de Sultana, une appellation qu’elle a découvert par le fruit du hasard après avoir choisi la Sultane de Saba pour dénommer ses perles de méditerranée.

L’olive sert au savon noir et le sucre à l’épilation dans les techniques traditionnelles quelle propose à l’institut.

Son grand-père possédait le grand hammam de Fès.


C’est la mère de Vanessa Sitbon qui est à l’origine de cette épopée parfumée aux milles vertus.

En 1986, celle-ci ouvre un salon à Beaubourg, qui connaîtra directement un réel succès, en partie grâce à la crème à la cannelle amincissante dont elle a le secret.

En 1988 Vanessa rejoint le salon de sa mère et lui succède. Elle y restera seule deux ans avant une échappée vers un nouvel institut rue Greneta dans le quartier de Montorgueil.

L’odyssée turque de 1994 réveillera un engouement pour la douceur charnelle et naturelle que procure la cire orientale dont elle importera en France le sucre blanc.

Son entraîne-ment à cette pratique parfumée de délices et la fidélité de ses clientes en feront, en trois mois, une des spécialités du salon.

1995 la conduit sur la terre charmeuse, brûlante et ambrée du Maroc où elle s’enrichit des rituels de beauté des femmes orientales. L’aventure ensorcelle sa volonté de transmettre ses connaissances à Paris mais aussi en Europe en proposant des formations d’esthétique.
Elle développera une gamme artisanale composée de recettes naturelles et ancestrales, l’huile de fleur d’oranger apaisant la peau et les rougeurs, la crème à la cannelle et le savon noir.
L’engouement est tel qu’il séduira des magasins comme Antoine et Lili, l’exposition nomades du Maroc 1996 organisée par les Galeries Lafayette, comme la boutique blanche Sephora.

Havre oriental en plein Paris, un temps pour soi

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Lieux d’évasion et de relaxation entièrement dédiés à votre bien-être, les Instituts la Sultane de Saba vous accueillent dans un espace unique qui vous transporte au cœur de l’Orient dans une ambiance de pure détente, de raffinement et de sérénité.

Des senteurs et des textures sélectionnées minutieusement pour embellir et créer des huiles et des crèmes dans le respect des traditions des rituels de beauté des soins orientaux.
Oasis de paix aux effluves subtiles, cet institut vous offre tout le savoir-faire de ses professionnels en matière de beauté de la femme au travers des soins ancestraux et consacrés, des délices du hammam ou de massages sublimes.


L’infusion du thé à la menthe, le souk installé par ses soins et le hammam de son enfance enrichissent ce lieu désormais incontournable de la capitale.

Bienvenue à la Sultane !